L’ESTAC enfin récompensée face à Metz ! 

Mal vernie en ce début de saison, l’ESTAC a enfin réussi à s’imposer face à Metz, au Stade de l’Aube (2-1, J7). Les Troyens ont réalisé une prestation solide et courageuse pour vaincre le leader messin. 

On l’attendait, les joueurs l’attendaient, le staff l’attendait… et vous l’attendiez, chers supporters ! La première victoire de la saison a eu lieu ce samedi soir, au Stade de l’Aube, face au FC Metz, leader du championnat avant le début de cette 7ème journée. Après une prestation convaincante à Annecy malgré la défaite, les joueurs de Stéphane Dumont ont enfin été récompensés de leurs efforts. 

Après un bon travail de Cyriaque Irié sur le côté droit, Pape Ibnou Ba, bien placé au point de penalty, ouvrait le score du gauche avant la pause (42’). Les Bleu et Blanc faisaient preuve de solidarité et d’abnégation pour maintenir leur cage inviolée. Mais Traoré égalisait pour les Messins à la 78ème minute de jeu. Sans paniquer, avec plein d’aplomb, les Troyens repartaient de l’avant et obtenaient un penalty dans la minute suivante, que Renaud Ripart transformait en force (80’). Dans un Stade de l’Aube bruyant, Adrien Monfray et ses coéquipiers réussissaient à tenir pour empocher trois points mérités. 

Il faudra désormais enchaîner à Dunkerque, vendredi prochain à 20h (J8). 

La réaction de Stéphane Dumont, l’entraîneur troyen : 

« Cette victoire est une belle récompense pour les joueurs. Ils se sont accrochés de la première à la dernière minute, même les entrants ont eu une attitude remarquable. On rentre à pleines dents dans ce championnat désormais, cette victoire n’est qu’une étape. On a été mal récompensés ces dernières semaines mais je vois ce qui se passe au quotidien, je ne suis pas surpris. Ce qui me plaît particulièrement, c’est de réaliser deux belles performances en quatre jours d’intervalle, dans deux styles complètement différents. Aujourd’hui, les joueurs ont fait preuve de courage, d’intelligence… Ça fait vraiment du bien. Mais dès demain, on repart au travail car il faut enchaîner. »